Oui, le réchauffement climatique existe !
Et non, cela ne sert à rien de diminuer nos émissions de CO2 pour lutter contre !
Jean Staune
J’ai été longtemps climatosceptique et cela pour deux raisons. La première est « romantique ». Je ne pouvais pas imaginer que des gens qui mentaient autant pouvait avoir raison. En effet, entre 2007 et 2014 un « plateau » est apparu dans l’augmentation générale des températures de la terre et cela sans aucune explication. Alors, pour ne pas « décourager » les bonnes volontés, les principaux journalistes vulgarisateurs concernant les questions du réchauffement climatique, mais aussi certains scientifiques, ont nié l’évidence et ont ainsi puissamment désinformé le grand public.
La deuxième raison, est que le réchauffement climatique est devenu une véritable religion, avec ses hérétiques qui sont « excommuniés ». Ainsi Philippe Verdier, Directeur de la météo sur France 2 a été renvoyé du jour au lendemain quand il a publié en 2015 un ouvrage expliquant que l’augmentation du CO2 sur terre pouvait avoir aussi de très bons côtés. On le voit d’ailleurs aujourd’hui avec une augmentation remarquable de la couverture végétale de la terre grâce à cette augmentation de CO2 comme le montre cet article scientifique
Et cette carte :
Toutes proportions gardées, nier le réchauffement climatique apparaît de plus en plus, aux yeux des biens pensants comme nier un crime contre l’humanité. Et je n’aime pas ce genre de pensée unique qui condamne les « dissidents » à la mort sociale. Qui a entendu, aujourd’hui, parler de Philippe Verdier après son passage transitoire chez Russia Today ?
Mais la recherche de la vérité étant mon premier moteur, je dois bien me rendre à l’évidence. Depuis 2015 la montée des températures est très importante, et il est difficile d’attribuer cela à autre chose que l’activité humaine.
Mais récemment, j’ai réalisé à quel point les tentatives pour lutter contre ce réchauffement climatique étaient vaines, voire absurdes. En effet, si vous refusez de prendre l’avion, un chinois le prendra à votre place, et si vous économisez un litre de carburant, un trumpiste le brulera à vote place. J’ai des amis qui militent pour la réduction des voyages en avion. Mais actuellement on construit des aéroports gigantesques partout sur la planète, certains avec 6 pistes contre les deux que comptent un aéroport déjà aussi grand que celui de Roissy. Et on prévoit d’ici 12 petites années (oui, seulement 12 ans) le doublement du trafic aérien mondial qui passerait de 5 milliards de voyageurs par an à près de 10 milliards de voyageurs par an.
Ensuite, dans les 15 prochaines années, on prévoit une augmentation de 60% de la consommation de gaz naturel liquéfié et de la flotte de méthaniers qui le transportent (ref ici).
On voit bien à quel point il est vain de vouloir lutter contre le réchauffement climatique par des gestes personnels, aussi respectables puissent-ils être. C’est exactement comme vouloir vider l’océan à la petite cuillère !
Et c’est bien cela qui introduit, me semble-t-il, une « fatigue » auprès du grand public qui, d’après les enquêtes d’opinion est de moins en moins sensible à ce problème.
Avant même l’élection de Donald Trump, les entreprises elles-mêmes ont commencé à se retirer de la Finance Verte :
Ainsi donc, nous sommes partis pour « suicider » notre industrie automobile, c’est-à-dire de faire disparaître Peugeot, Renault, Fiat, Volkswagen, Audi, Mercedes et BMW... ce qui est quand même quelque chose, pour absolument rien. En effet, aujourd’hui, des voitures chinoises électriques de la taille d’une Smart se vendent à 2000 euros, je dis bien 2000 euros sur le catalogue d’Ali Baba en Chine. Vous pouvez mettre 500% de taxe sur une telle voiture, elles seront toujours beaucoup moins chères que les productions européennes.
Les chinois, qui ont parfaitement compris qu’ils ne pourraient jamais concurrencer dans le thermique le savoir faire des constructeurs automobiles occidentaux, se sont rués sur l’électrique et ont intégré toute la chaîne, depuis les métaux rares et les batteries jusqu’aux logiciels souvent fournis par des fabricants de téléphones mobiles et vont dominer le marché mondial. Or, si toute l’Europe roulait à l’électrique, la diminution du gaz carbonique dans l’atmosphère sera tellement infime que cela ne changera à peu près rien à la course vers le réchauffement climatique.
La conclusion est simple. Si les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère va ralentir par points de PIB, les émissions en valeur absolue de gaz carbonique vont continuer à augmenter, Quoi que vous fassiez et quoi que vous disiez, elles ne se stabiliseront ni se baisseront dans les 25 ou 30 années prochaines.
Alors ce veut-il dire que tout est fichu ?
Non, d’abord il est possible que les risques du réchauffement climatique aient été extrêmement augmentés par la « religion climatique ». Et même si ces risques étaient réels, il existe une solution. Et ce n’est pas celle de la géo ingénierie qui consiste à injecter dans l’atmosphère terrestre des composants susceptibles de renvoyer le rayonnement du soleil et de refroidir ainsi la planète, car c’est une façon de jouer aux apprentis sorciers dans un domaine aussi complexe que le climat terrestre.
Il existe bien une solution, et elle est beaucoup plus ambitieuse, car elle se situe dans l’espace. En effet, il existe un point dit Lagrange L1 où un satellite sera toujours situé, immobile, entre la terre et le soleil. Exactement comme un satellite de communication qui est immobile par rapport à un point du globe terrestre s’il est situé sur l’orbite géostationnaire à 36 000 Kms d’altitude. Il « suffit » donc d’envoyer des centaines de milliers de petites unités, un peu comme des parasols, à ces points-là, pour bloquer une petite partie de la lumière du soleil et refroidir la terre de 1,5°, ce que nous cherchons désespérément à faire en limitant nos émissions de CO2 ce qui, comme je viens de vous le démontrer, est absolument et totalement illusoire .
Projet fou sorti de la science-fiction ? Pas du tout, vous trouverez ici à télécharger trois articles présentant ce genre de démarche, dont une avec un budget : 6,5 milliards de dollars par an pendant 20 ans. Cette somme peut sembler importante, mais elle est 200 fois inférieure, je dis bien 200 fois, aux 1200 milliards qui sont, selon les spécialistes, nécessaires à dépenser par an pour faire face aux effets du réchauffement climatique et aider l’ensemble des états de la planète à effectuer une transition énergétique.
A une époque où Elon Musk (eh oui encore lui !) envoie dans l’espace 60 000 satellites pour sa constellation Starlink destinée à donner à la planète l’accès direct à internet par satellite, la possibilité de construire un parasol géant composé de centaines de milliers de petits parasols n’est pas utopique, et même relativement facile à réaliser. Et c’est la seule solution envisageable pour résoudre ce problème. La raison pour laquelle on n’en parle pas, et que l’on préfère faire grand cas d’une solution qui n’en est pas une, reste, comme beaucoup d’autres choses, un mystère qui est difficile à éclaircir.
Quand Donald Trump professe que l’idée de l’origine humaine du réchauffement climatique est la plus grande escroquerie de tous les temps, il a entièrement tort. Mais il est particulièrement « jouissif » que l’homme le plus puissant du monde puisse dire cela car cela déplace la fenêtre d’Overton, cela libère la parole sur la folie climatique et sur la forme « d’écofascisme » qui va avec, un fascisme soft, certes qui ne tue personne, mais qui dans l’exemple de Philippe Verdier n’organise pas moins des morts sociales (et qui pourrait très bien un jour mettre des gens en prison, s’ils refusent de réduire leurs émissions de CO2. Ce n’est pas encore le cas, mais c’est hélas tout à fait envisageable). Et cela au prix de notre avenir le plus proche, par la destruction de nos économies pour, encore une fois, une démarche totalement illusoire qui ne résoudra aucun de nos problèmes puisque quoi que nous fassions, le CO2 continuera à augmenter dans l’atmosphère.
Encore une fois ici donc, l’action si décriée par l’ensemble des bien-pensants de Donald Trump est en fait une action positive qui met le doigt sur l’une des grandes absurdités et l’une des grandes désinformations de notre époque.
Mais la recherche de la vérité étant mon premier moteur, je dois bien me rendre à l’évidence. Depuis 2015 la montée des températures est très importante, et il est difficile d’attribuer cela à autre chose que l’activité humaine.
Mais récemment, j’ai réalisé à quel point les tentatives pour lutter contre ce réchauffement climatique étaient vaines, voire absurdes. En effet, si vous refusez de prendre l’avion, un chinois le prendra à votre place, et si vous économisez un litre de carburant, un trumpiste le brulera à vote place. J’ai des amis qui militent pour la réduction des voyages en avion. Mais actuellement on construit des aéroports gigantesques partout sur la planète, certains avec 6 pistes contre les deux que comptent un aéroport déjà aussi grand que celui de Roissy. Et on prévoit d’ici 12 petites années (oui, seulement 12 ans) le doublement du trafic aérien mondial qui passerait de 5 milliards de voyageurs par an à près de 10 milliards de voyageurs par an.
Ensuite, dans les 15 prochaines années, on prévoit une augmentation de 60% de la consommation de gaz naturel liquéfié et de la flotte de méthaniers qui le transportent (ref ici).
On voit bien à quel point il est vain de vouloir lutter contre le réchauffement climatique par des gestes personnels, aussi respectables puissent-ils être. C’est exactement comme vouloir vider l’océan à la petite cuillère !
Et c’est bien cela qui introduit, me semble-t-il, une « fatigue » auprès du grand public qui, d’après les enquêtes d’opinion est de moins en moins sensible à ce problème.
Avant même l’élection de Donald Trump, les entreprises elles-mêmes ont commencé à se retirer de la Finance Verte :
Ainsi donc, nous sommes partis pour « suicider » notre industrie automobile, c’est-à-dire de faire disparaître Peugeot, Renault, Fiat, Volkswagen, Audi, Mercedes et BMW... ce qui est quand même quelque chose, pour absolument rien. En effet, aujourd’hui, des voitures chinoises électriques de la taille d’une Smart se vendent à 2000 euros, je dis bien 2000 euros sur le catalogue d’Ali Baba en Chine. Vous pouvez mettre 500% de taxe sur une telle voiture, elles seront toujours beaucoup moins chères que les productions européennes.
Les chinois, qui ont parfaitement compris qu’ils ne pourraient jamais concurrencer dans le thermique le savoir faire des constructeurs automobiles occidentaux, se sont rués sur l’électrique et ont intégré toute la chaîne, depuis les métaux rares et les batteries jusqu’aux logiciels souvent fournis par des fabricants de téléphones mobiles et vont dominer le marché mondial. Or, si toute l’Europe roulait à l’électrique, la diminution du gaz carbonique dans l’atmosphère sera tellement infime que cela ne changera à peu près rien à la course vers le réchauffement climatique.
La conclusion est simple. Si les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère va ralentir par points de PIB, les émissions en valeur absolue de gaz carbonique vont continuer à augmenter, Quoi que vous fassiez et quoi que vous disiez, elles ne se stabiliseront ni se baisseront dans les 25 ou 30 années prochaines.
Alors ce veut-il dire que tout est fichu ?
Non, d’abord il est possible que les risques du réchauffement climatique aient été extrêmement augmentés par la « religion climatique ». Et même si ces risques étaient réels, il existe une solution. Et ce n’est pas celle de la géo ingénierie qui consiste à injecter dans l’atmosphère terrestre des composants susceptibles de renvoyer le rayonnement du soleil et de refroidir ainsi la planète, car c’est une façon de jouer aux apprentis sorciers dans un domaine aussi complexe que le climat terrestre.
Il existe bien une solution, et elle est beaucoup plus ambitieuse, car elle se situe dans l’espace. En effet, il existe un point dit Lagrange L1 où un satellite sera toujours situé, immobile, entre la terre et le soleil. Exactement comme un satellite de communication qui est immobile par rapport à un point du globe terrestre s’il est situé sur l’orbite géostationnaire à 36 000 Kms d’altitude. Il « suffit » donc d’envoyer des centaines de milliers de petites unités, un peu comme des parasols, à ces points-là, pour bloquer une petite partie de la lumière du soleil et refroidir la terre de 1,5°, ce que nous cherchons désespérément à faire en limitant nos émissions de CO2 ce qui, comme je viens de vous le démontrer, est absolument et totalement illusoire .
Projet fou sorti de la science-fiction ? Pas du tout, vous trouverez ici à télécharger trois articles présentant ce genre de démarche, dont une avec un budget : 6,5 milliards de dollars par an pendant 20 ans. Cette somme peut sembler importante, mais elle est 200 fois inférieure, je dis bien 200 fois, aux 1200 milliards qui sont, selon les spécialistes, nécessaires à dépenser par an pour faire face aux effets du réchauffement climatique et aider l’ensemble des états de la planète à effectuer une transition énergétique.
A une époque où Elon Musk (eh oui encore lui !) envoie dans l’espace 60 000 satellites pour sa constellation Starlink destinée à donner à la planète l’accès direct à internet par satellite, la possibilité de construire un parasol géant composé de centaines de milliers de petits parasols n’est pas utopique, et même relativement facile à réaliser. Et c’est la seule solution envisageable pour résoudre ce problème. La raison pour laquelle on n’en parle pas, et que l’on préfère faire grand cas d’une solution qui n’en est pas une, reste, comme beaucoup d’autres choses, un mystère qui est difficile à éclaircir.
Quand Donald Trump professe que l’idée de l’origine humaine du réchauffement climatique est la plus grande escroquerie de tous les temps, il a entièrement tort. Mais il est particulièrement « jouissif » que l’homme le plus puissant du monde puisse dire cela car cela déplace la fenêtre d’Overton, cela libère la parole sur la folie climatique et sur la forme « d’écofascisme » qui va avec, un fascisme soft, certes qui ne tue personne, mais qui dans l’exemple de Philippe Verdier n’organise pas moins des morts sociales (et qui pourrait très bien un jour mettre des gens en prison, s’ils refusent de réduire leurs émissions de CO2. Ce n’est pas encore le cas, mais c’est hélas tout à fait envisageable). Et cela au prix de notre avenir le plus proche, par la destruction de nos économies pour, encore une fois, une démarche totalement illusoire qui ne résoudra aucun de nos problèmes puisque quoi que nous fassions, le CO2 continuera à augmenter dans l’atmosphère.
Encore une fois ici donc, l’action si décriée par l’ensemble des bien-pensants de Donald Trump est en fait une action positive qui met le doigt sur l’une des grandes absurdités et l’une des grandes désinformations de notre époque.